Ce qui ne va pas, ce sont ces imbéciles qui ne savent pas se tenir debout dans le métro. Moi, par exemple.
Imagineoir 80
Je te connais par cœur
Tu me pompes l’air nuit et jour
Et ça fait 300 000 heures que ça dure*
J’use et j’abuse de toi mais
Remettons-ça encore une fois
Et de tout j’aurai fait le tour
Nos tempi se sont accordés très tôt
Laissons les sourds à leurs pianos
Et de nos notes étonnons au mieux
Tu es mon plus fidèle inspirateur
Tes maux sont les miens
Et mes livres sont à toi.
* texte écrit à 34 ans.
Imagineoir 79
Je l’aimhais
Imagineoir 78
– Quand j’étais petit, je disais : « Ah, que j’aime à faire connaître ce nombre utile aux sages. »
– 2,31415926535 ? C’est idiot !
– Oui, mais au moins la virgule était bien placée.
Imagineoir 77
L’OuLiPo est mort, vive le MouLimPot !
(Mouroir de Littérature Impotente)
Imagineoir 76
Pas la vitesse : la fluidité
Pas les usages : l’échange
Pas la fatigue : le sommeil
Imagineoir 75
Le roman se moque de la réalité. La réalité est le produit d’un consensus, une façon passive de percevoir le monde.
Imagineoir 74
Ceci est une palette avec des patates.
Imagineoir 73
Dans ma vie de bulles où les marges vont droit, cailloux couvés ont eu raison de moi.
Imagineoir 72
Il faisait trop sombre
alors j’ai tout colorié.